Hier soir, je me suis connecté à Second Life pour jouer au jeu proposé par Saint Gobain Glass et Stonfield InWorld. Je me suis donc rendu sur l'Ebeoplex (slurl) et ai essayé de répondre tant bien que mal aux questions posées. Heureusement, Ange Zanetti (le grand balaise dans le tableau ci-dessous), qui passait par là et qui avait déjà joué, m'a donné un coup de main. C'est ainsi que le 34ème cèdre fut planté sur l'Ebeoplex. L'essai sera transformé dans quelques mois lorsqu'un cèdre sera planté au Liban, avec ses congénères. Comme disait quelqu'un, Second Life is Real Life!

Ange et moi devant un cedre


La documentation sur les produits de SGC (puisque les questions sont relatives à celà) est disponible sous forme de notecards dans le showroom de Saint Gobain Glass (slurl) et Emmen Tal a donné une solution sur son blog. En cas de problème, Ange a dit qu'il pouvait être de bon conseil ;-) Au moment où je poste ce billet, ce sont 36 arbres qui seront plantés, mais je suis sûr qu'en se donnant un peu la main, on peut faire mieux, non? C'est sympa de le faire à plusieurs, ça va plus vite... et entre deux danses, ça ne prend pas beaucoup de temps ;-)

La plantation se trouve ici.



Alors, ok, ça ne se résoud pas le problème du réchauffement climatique, ça ne résoud pas non plus les problèmes politiques du Liban, ça ne crée même pas un Etat Palestinien à côté de l'Etat d'Israël, ça ne désarme personne, ça ne modifie pas fondamentalement les méthodes de production de Saint Gobain ou son marché MAIS ça permet de faire quelque chose pour l'environnement depuis Second Life, ça permet d'affecter un budget publicitaire à une action positive de protection de l'environnement, ça nécessite de mettre en place des moyens humains et structurels pour pouvoir planter ces cèdres et veiller à ce qu'ils soient sauvegardés. Ca permet, simplement, de créer une forêt, grande ou petite, selon ce que nous déciderons, avec l'écosystème qui va avec.

De fait, nous pourrons suivre la réalité de cette action puisque nous connaissons Pierre-Olivier, David, Stonfield.

Et puis ça permet de ne pas oublier le Liban.

Alors, comme disent les deux chanteurs de La chanson du dimanche, ci-dessus: «plante un arbre, c'est la vie (....) plante un arbre, aujourd'hui (...) plante un arbre, tu le verras pousser, oh yeah!»